Patrimoines

Journée d’étude – 12 juin

Organisée au château de Lavardens, cette journée d’étude explore les dynamiques de valorisation du patrimoine en milieu rural, à travers le cas concret du territoire gersois. Elle rassemblera des professionnels du patrimoine, du tourisme et de la culture pour croiser les regards et les expériences autour d’une même ambition : faire du patrimoine un levier de développement local, à la fois culturel, économique et social.

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Tout ce que je sais c’est que je ne sais rien

« Faut aller à l’essentiel mais, attention, les détails sont cruciaux. Plus c’est juteux, mieux ton public intégrera les infos ».
Il faut croire que ce marketing historique demeure percutant. Au château de Lavardens, en tout cas, c’est ça que bon nombre de personnes retiennent de la vie d’Antoine de Roquelaure, le propriétaire des lieux au XVIIe siècle. Ce farouche gascon a eu une ascension sociale fulgurante ! Connu dans tout le royaume de France au début des années 1600, il est aujourd’hui largement oublié. Au fil des siècles, le temps a progressivement effacé la mémoire de certains événements et personnages.

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À pas de danse et au son des pierres #1

La danse classique khmère est un art qui se transmettait de génération en génération et, qui
contrairement à d’autres danses notamment indiennes, n’a pas connu de retranscription à l’écrit.
L’absence de support supposait une menace de disparition assez évidente. La danse a failli être totalement oubliée lorsque les Khmers rouges ont décimé la
population artistique et intellectuelle du Cambodge. Cependant, grâce à l’étude et à l’observation
de la sculpture, nous arrivons à en comprendre un peu plus sur la danse et sa pratique à travers les
âges.

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Les constructions berbères et leurs décors

L’architecture de terre est fragile et dite “éphémère”, c’est une chose très importante à intégrer ; elle est vulnérable face aux intempéries, de même qu’elle utilise énormément de bois. Ce dernier, s’il n’est pas traité, se retrouve être la proie des insectes tels les mites, qui se font un plaisir de détruire les structures portantes, les portes, les planchers et les encadrements. Pour se prémunir contre ces parasites, les Berbères enduisent les extrémités de leur bois avec de la chaux, parfois du goudron. L’architecture berbère se fond toujours dans son environnement naturel, dans lequel elle a puisé ses sources et ses matériaux ; au premier abord, elle ne se manifeste pas par le prestige de ses monuments, malgré des dimensions quelque peu importantes et son décor minutieux et abondant.

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